bon bin j'ouvre le bal, avec mes funestes et pluvieuses vacances aux pays des nazis et des camamberts.
mon père travaillant à la SNCB, le TGV nous coute rien, donc bon première classe(la classe), repas dans le train etc etc.
Arrivée à Paris, ah direct, on est en france. le métro est miteux,e nfin comme tout les métros, donc ça va, puis arrivée à la garre de paris austerlitz. et là, mon dieu, je suis Gordon freeman, je suis dans half life 2.
des controles de papiers partout, des militaires avec de sgros guns, des annonce de plan vigipirate, de bombe partout de vigilance de "dénoncer tout comportement suspect". des clodos partouts, la misère, la paureté. la garre, batiment à moitiée détruit d'une ciovilisation dont la gloire s'est perdue dans l'évolution incessante.
enfin, je croyais pas que c'était à ce point là, on dirait que vous êtes en guerre civile.
mais bon, on prend le risque de sauter sur une bombe, et on se tape dans un corail(que nom débile).
Mais dieu merci, on à évité le pire : les TER(train exessivement repoussant). l'année dernière, on avait eu droit à cette chose que vous appelez train.
pas de clim, , donc ça caillait (c'était au carnaval). je contemplais , non pas le paysage, mais le micro organisme qui s'était formée dans l'eau stagnante du double vitrage. je supose que je devrait être content que cela soit du doubvle vitrage.
ah oui et la porte qui reste ouvert pendant le trajet. bien que le terme porte est bien gratifiant, nous avions plutot à faire à un bout de tole muni d'une poignée actionner par un des tout premier modèle de piston.
MAIS BREF, le corail, ça allait.
Soit, nous arrivons en corrèze, accuillit par un radieux soleil qui laissait présagé le meilleur pour la suite.
n'est il pas radieux, ce soleil ?bref, on est crever, glander, ça crève. donc on va se pieuter après un souper bien mérité. ah non pardon en france, on doit dire diner
soit le lendemain, je me lève vers 10 heures, ou c'est tôt je sais, et je me dis qu'on est en Belgique. parceque bon ça, ça se voir qu'en Begique après tout.
puis en frait, non,je suis bien en vacances.
bon bref, ça nous empeèche pas d'aller piquer une tête dans le lac, qui est nettement plus chaud que la température extérieure(il fumait ce jour là d'ailleurs)
il à commencé à dracher quand on était dedans, c'était fun.
mais ouf, nos draps, ah non pardon, nos "serviettes de bain"(
)
étaitent au sec.
le reste de la journée fut occupée par ce genre d'activité...
LE lendemain, TT, c'est pire.
alors on décide d'aller se faire mouilletr, mais dans un bel endroit, direction rocamadour, pour voir un joli chateau. bon bin, on s'est un peu paumé entre le parking 352-a.2 et le 7²+2x12=tusaipasgrocon? section 4,7, couleur bleues à poix jaunes pour véhicule pesant maximum 982,5481145 Kg.
ah oui on à aussi fait notre pélerinage à nous, avec des bornes explicant que le christe ceci, que là il se casse la geue avec sa croix, que la sa très sainte et stupide mère l'aide, puis qu'enfin, on lui cloue le bec. enfin, les jambes et les bras du moins.
une photo de recamadour quand même.
Le surlendemain :
çA Y EST, on touche le fond : 13° et, cette splendide vue in vitraux(fenêtre en tout cas)
bon je me rappelle plus de ce qu'on à fait, surement rien de passionant.
Ah mais si, on est allé à une soirée paella, mais bon, comme je ne puis tout de même pas ingurgiter mes comparses, pour moi c'était steak frite.
ALORS LA, de nouveau, le oute n'est pas permis : nous sommes en France.si vous avez des enfants près de vous écartez les car voici...
notez l'impressionant "bulbe" de gras vaguement rattaché à cette matière caoutchouteuse que les français appelle steak.UN STEAK FRANCAIS!
bon en fait, chez nous, on appelle ça un nerf.
le père de mes cousin, écolo (mia sui bouffe quand même au macdo), me disait, "mais non, elle est bonne, elle à du gout, c'est mieux que tes viandes pleines d'antibiotiques!"
je lui ai dit que j'aimais autant manger des antibiotiques que ça. pas vous ?
Mais il y a pire, quand j'ai vu la gueule des frites... chez eux, les frites, aparament, ce sont des rondelle de pomme de terre sautée. oui, mais savent tellement pas cuisiner qu'elle sont pas rotie, aparament, il mète un kilo de beurre dans la poelle, et quand les patates ont tout bu, ils servent.
ALORS, je me suis remis de mes émotions...
et comme on se faisait méchament chier(notez qu'au moins, on se fesait chier sur un fond musical) bin, mon talent d'artiste est arrivé à toute vitesse. j'ai ommencer à crayonner la nappe. puis j'ai fait nimp toute la soirée. y'a un petit message pour vous quand même dessus.
Et c'est là que le potamidé élargi le forum... 56k s'abstenir.
- Spoiler:
vous noterez que je ne sais pas dessiner.
les autres jours, bien monotones, ressemblaient à cela
ah oui et le jour de notre départ, il faisait super chaud.
bon bref, c'était naze, la prochaine fois, on retourne en italie, paske merde.
signé :